mardi 27 octobre 2015

Pluie d'été

par Tanganistika Cela s’est passé au mois de juillet. Une fin d’après-midi lourde et moite, je sors du bureau pour rentrer chez moi. Vu la canicule annoncée, j’ai opté pour une robe en cotonnade blanche boutonnée sur le devant et des ballerines dont les lacets s’enroulent autour de mes chevilles. Je suis le chemin habituel pour regagner mon appartement, pressant le pas devant le ciel qui s’obscurcit et le vent qui commence à souffler par rafales. L’orage se rapprochant très vite et devant la noirceur inquiétante du ciel, je décide de couper par le parc, endroit que j’évite habituellement car grouillant de monde à cette heure de la journée. A peine la grille franchie, la pluie se met à tomber, d’abord en grosses gouttes éparses qui s’écrasent sur le sol et font fuir les rares personnes qui se trouvaient encore là. Puis, au bout de quelques minutes, ce sont des trombes d’eau qui s’abattent sur moi. Surprise par la brutalité de cette véritable douche, je reste un instant immobile. Finalement, cette pluie fraîche est salvatrice, elle adoucit l’air, je sens l’eau qui coule de mes cheveux, les gouttes qui s’immiscent entre mes seins, le tissu de ma robe qui colle à ma peau. Le parc est désert à présent, et je suis là, en plein milieu, la tête en arrière les lèvres entrouvertes savourant la pluie. Après quelques instants, je reprends conscience de la réalité qui m’entoure. Si quelqu’un me voit en ce moment, il doit me prendre pour une folle Je décide alors d’attendre une accalmie à l’abri et me dirige vers le kiosque déserté. Tandis que je marche, ma robe se colle à mes jambes, et baissant les yeux, je remarque sa transparence On dirait que je suis à moitié nue Le rouge me monte aux joues et j'accélère. Quelle idiote, de quoi ai-je l'air maintenant ! Je maugrée intérieurement et m'interromps net en passant devant l'un des plus gros arbre du parc, sous lequel se tient une jeune femme qui me regarde avec un drôle de sourire aux lèvres. Apparemment elle n'a pas échappé à l'averse, ses longs cheveux bruns sont plaqués sur son visage et je ne peux m'empêcher de baisser les yeux sur ses seins moulés et frissonnants dans un débardeur bleu nuit qui lui colle à la peau. Je me sens comme pétrifiée devant cette fille qui me scrute d'un oeil narquois, moi qui suis trempée avec ma robe blanche laissant entrevoir tout de moi ! A peine ai-je le temps de faire un pas pour fuir au plus vite cette situation embarrassante que je sens une main aux doigts fins se refermer sur mon bras. Une voix rauque s'élève : « Ne pars pas, tu n'as pas à être gênée, tu étais très belle sous la pluie, et tu l'es toujours en ce moment ». Achevant ces quelques mots, elle m'attire vers elle, je remarque entre ses seins un pendentif en forme d'éclair dans une matière qui ressemble à de l'hématite, grise aux reflets métalliques. Cette fille a quelque chose de spécial, je me sens comme hypnotisée par elle et me laisse faire quand elle me plaque dos à l'arbre et se colle à moi. Elle glisse une main autour de mon cou pour la poser sur ma nuque, son visage frôle maintenant le mien. Ses cheveux ont l'odeur d'un jardin d'herbes folles sur lequel la pluie vient de s'abattre, sa peau est fraîche et moite. Mon souffle s'accélère, mon coeur s'emballe et je sursaute quand ses lèvres se posent sur les miennes en même temps qu’un éclair zèbre le ciel. Sa langue entame un époustouflant ballet avec la mienne, sa bouche a le goût un peu métallique de la pluie. Je m'abandonne, sens sa main caresser ma nuque. L'autre main a déboutonné ma robe et pétrit mes seins sans ménagement. Le tonnerre résonne et il se remet à pleuvoir à verse, peu importe, je ne suis plus tout à fait là. Elle embrasse maintenant mon cou, sa main a lâché ma nuque pour remonter le long de ma cuisse. Ses doigts se glissent sous mes dessous, trouvant mon sexe dont l'état d'excitation égale l'humidité ambiante. Eclair, main qui me caresse, pluie battante, doigts qui me pénètrent, tonnerre. Bruit assourdissant qui masque à peine mes soupirs et mes gémissements quand le plaisir m'emporte dans un tourbillon qui me fait vaciller. Jamais je n’avais ressenti autant d'intensité, une véritable décharge électrique qui me laisse pantelante et abasourdie, adossée à cet arbre, un instant perdue, ailleurs. Le temps que je reprenne mes esprits, je sens un rayon de soleil caresser ma peau, la pluie cesse, les nuages s'écartent. Je lève les yeux vers mon inconnue. Personne. Elle semble s'être évanouie avec la tempête. Tout ça n'était peut-être qu'un rêve éveillé. Je n'ai jamais recroisé ma Reine des Orages, mais souvent, quand le tonnerre gronde et que les éclairs déchirent le ciel, je la revois et songe à ces instants hors du temps qu'elle m'a offerts un soir d'été, dans un jardin public. Visitez le Blog de Tanganistika.

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toute nue sous la pluie Bonjour, Dans cette nouvelle histoire, je vais vous raconter une aventure que j’ai vécu il y a quelques temps. Pour ceux qui ont lu mes récits précédents vous savez de quelle manière j’aime me retrouver toute nue dehors.En général, je «maitrise» mes exhibs mais vous allez voir que ca m’arrive de me faire surprendre... Nous sommes au mois de mai, il fait déja chaud dans la journée.J’ai une envie qui trotte dans ma tète depuis pas mal de temps: j’ai envie de partir me promener toute nue sous la pluie!!! Cela fait un moment que je réfléchis sur l’endroit ou aller. Je me monte des scénarios sur divers endroits que je connais bien ou sur la facon dont je vais proceder. J’ai pleins d’idées différentes, je ne sais pas trop. J’attends avec impatiente une méteo pourrie mais ca n’arrive pas. Un jour, suite a un coup de fil de mes parents, le rendez vous est pris pour que je vienne nourrir le chat alors qu’ils doivent s’absenter quelques jours. J’ai donc rejoint la maison de mes parents. Je suis seule et manges sur le canapé devant les infos.Et la, je tombe sur le buletin météo. Nous sommes samedi soir et de mauvais temps est annoncé pour le début de semaine. Mon fantasme qui était a ce moment la enfoui au fond de ma tète surgit a nouveau. Enfin...et en plus j’ai un terrain de jeu extraordinaire a deux pas d’ici.En effet la maison est situé au pied des collines.un endroit que je connais par coeur pour y avoir grandit.J’ai vraiment hate que le mauvais temps soit la.Dans ma tète pleins d’idées se mélanges mais finalement je choisis une option. Dans la nuit du lundi au mardi je suis réveillée par la pluie...Enfin!!! Il est 5h du matin et je n’arrive pas a me rendormir. Je tourne et je vire dans mon lit en m’imaginant ma balade sous la pluie. Aux premieres lueurs du jour, ne tenant plus, je me leve, dejeune rapidement, me douche. Dans un sac plastique je mets un short et un tricot. J’ enfile des baskets et je glisse entre les lacets un tout petit sac (type congélation) dans lequel je mets 2 présevatifs!!! on ne sait jamais. J’ enfile maintenant un puncho et me voici prete. Je sors dans le jardin et aussitot le bruit de la pluie sur le plastique de la capuche me fait frissoner Je suis toute nue dessous mais personne ne le sait. Je regagne la petite route et monte a pied en direction de la colline. Je tiens mon sac plastique a la main avec un vetement de secours pour le retour au cas ou... Il est tot et si une voiture viens a descendre les occupants ne verrons qu’une personne en puncho qui peut etre cherche les escargots.... Mais aucun voisin ne passe et j’arrive maintenant au terminus de la route. Une barriere que je contourne et je m’ engage sur la piste forestierre qui s’enfonce dans la garrigue. Le petit parking est désert.Ca me soulage et en meme temps c’est normal. Qui viendrait ici un matin de semaine sous cette pluie battante? Beh moi c’est tout. Rapidement je laisse la piste qui pars a droite vers des ruines et redescents vers la ville pour emprunter un sentier qui s’ enfonce dans la colline. Je marche ainsi 5 bonnes minutes et j’ateinds un virage a partir du quel les dernieres maisons ne sont plus visibles. Dans mon idée c’est ici que j’enleve mon puncho, le cache avec mon sac et pars toute nue . Il y a un abri sous roche a Quelques metres du sentier. Mon coeur accelere comme a chaque fois que je m’apprete a me mettre a poil dehors. La pluie est soutenue depuis cette nuit, personne ne vas monter ici et personne ne devrait arriver du fond de la colline car il faut en suivant ce sentier plusieurs heures de marche pour rejoindre une route ou des maison par la.Allez je me lance!!!! Je retire non sans mal le puncho qui me colle un peu dans le dos et aussitot la pluie s’abbat sur mon corps. je n’ai pas froid vu que je marche depuis un moment. Je cache mon puncho sous un arbuste. Je cacherais mon sac de vetement un peu plus loin. On ne sais jamais. Je me remets en route, je suis bien. La pluie commence a me mouiller completement et je cache mon sac plastique sous un arbre que je peux facilement retrouver. Ca y est j’y suis, completement nue sans aucune affaire avec moi j’ avance sur ce sentier qui monte.Quelle sensation agréable d’etre nue sous la pluie. Toutes les odeurs de la garrigue ressortent, avec celle de la terre mouillée. Ca sent bon je suis seule et nue .Tous les naturistes parlent d’harmonie avec la nature.Oui c’est vrai a part que la je ne suis pas dans un centre naturiste et que je n’ai pas a etre la a poil. Cela doit faire un bon quart d’heure que j’ai abandonné mon sac, je ressens ala fois de l’inquietude, de l’adrénaline et de l’excitation.Quel pied. Le sentier passe au pied d’une petite falaise et le pluie a provoqué comme une petite cascade. C’est plutot un gros ruisselement qui tombe sur un caillou plat. Whaou une super douche!!! je me jette dessous. Comme c’est bon je suis littéralement trempée. Je ne peux m’empecher de commencer a promener mes mains sur mon corps. J’ empoigne mes seins, mes fesses et debout je commence a me masturber. Je ne tiens plus je me mets a 4 pates et me place de maniere a ce que le ruisselement viennent entre mes fesses... Mmmmm voila je sens l’eau tomber avec violence sur mon anus et je reprends mes carresses. Je sais que je suis seule mais je me dis que si on me voyait la dans cette position j’eveillerez des idées auquelles je n’ose meme pas songer. Je suis au bord de l’orgasme. Je me resaisis car je veux continuer l’aventure et je sais que si je jouie maintenant, l’excitation s’en ira et je voudrais rentrer; hors je veux rester et continuer. Je me remets en route. J’arrive a un endroit ou le sentier devient vraiment abrupt. Il y a de grosses marches a franchir et je dois poser les mains au sol pour grimper. J’ai la sensation d’etre un animal: Nue a quatres pates dans la boue et l’eau je me régale. D’ou je suis je peux apercevoir la croix au sommet du Garlaban. J’y suis montée des dixaine de fois avec maes parents, petite, ou avec des copines ou des copains, mais comme ca,seule et toute nue c’est une premiere. Je suis bientot au plateau, la ou une large piste forestiere passe. Je décide de continuer.Je ne pense pas que quelqu’un arrive sur cette piste a cet heure ci.Il doit etre 8 h du mat et il pleut fort. Sans arret je me dit: «-helene, putain , ca craint!! tu n’as meme pas de quoi de rhabiller?» Mais une force irresistible me force a continuer: «Allez continue, fais le , c’est trop bon tans pis. J’atteins enfin le bord de la piste. j’ai une bonne vision vers le haut et apparement il n’y a personne. en bas je ne vois pas plus que 50 metres. J’hesite a rejoindre le sommet du garlaban car le sentier qui y conduit est sans issue et une fois la haut si du monde arrive je serais obligée d’etre comfrontée a me montrer. Je décide de monter en me disant que personne n’a l’idée de venir avec un temps pareil et que au moins je l’aurais fait... Il me faut environ 15 minutes pour atteindre la croix, je regarde souvent en contre bas pour etre sure que personne ne vient. Tout vas bien. La croix est la a trente metres devant moi... Je l’ai fait je suis montée au garlaban toute nue depuis chez moi!!!! je suis folle. Je vais pour la toucher quand je suis frappée de stuppeur.je m’arrete net et une vague de chaleur me traverse de part en part. Il y quelqu’un. A force de regarder derriere si du monde vennait je n’ai pas fais attention devant. On dirait un homme. Il regarde vers moi. Il ne marche pas. IL a un genre de pantalon en k way noir ainsi qu’une veste impermeable grise.un capuche.Nous restons quelques instant a nous regarder sans bouger.Je me dis: «-voila bravo a jouer a la conne t’as tout gagné.j’espere qu’il n’est pas mechant.et que ca vas bien se passer...» Je l’entends me dire: «-Beh alors qu’est ce que vous faites comme ca? vous allez bien?» «-OUI ca va je suis désolée je pensez vraiment etre toute seule. «-Et non, je suis la. je me promene comme vous sous la pluie ,approchez je vous ferez pas de mal?» Je m’avance vers lui, il me regarde en souriant.son regard a tendance a m’apaiser.Il a l’air gentil.Il doit avoir une quarantaine d’année. «-vous vous promenez souvent a poil comme ca?» «-heu oui ca m’arrive je fais du naturisme. «-la on est pas dans un camp naturiste vous avez pas peur? «-non ca va je suis habituée a etre nue mais vous m’avez surprise.J’étais sure que sous la pluie personne ne viendrait. «-perdu je suis venu.mais je ne suis pas de la region.je repars demain et je voulais absolument venir la avant de repartir. alors tans pis pour le temps je suis monté et j’ai bien fait.Vous etes d’ici vous. «-oui je connais bien» Dans ma tete je me disais: «-Whaou c’est délirant cette situation.je fut parcourru par une sensation bien connue au fond de mon ventre.j’étais mouillée mais la, la pluie n’y était pour rien!!! «-C’est quoi la ville qu’on voit en bas?» me demande t’il en me montrant la vallée. «-La c’est Aubagne...» Je lui tournais le dos, le bras tendu vers les villes que je lui montrais, quand je sentis tout a coup ses deux mains sur mes deux fesses!!!! J’eu un frisson de surprise et m’arreta de parler. «-continue, fais moi la visite ma belle. «-d’accord. lui dis je timidement Je lui enumérais les lieux que je connaissais et en meme temps je sentais ses mains se balader.De mes fesses elles remonterent dans mon dos puis redescenderent sur mes hanches.La je me suis dit: «-Pour une premiere fois nue au garlaban, je pense que je vais me faire sauter ici en plus...» Ses mains remonterent sur mon ventre et il empoignas mes seins. «Tu m’excites comme ca, a poil sous la pluie ma jolie.» «-je vous demande juste de ne pas etre violent sil vous plait.» «violent? non ne crains rien, je veux juste te faire du bien. « -D’accord» je soupirais quand sa main descendais vers ma vulve toute lisse.J’appuyais mes fesses contre lui et je sentis son sexe en erection.Il respirait fort, moi aussi . «Vas y frotte ton cul contre moi. Son doigt entra dans mon vagin et il me massais doucement l’interieur de ma chatte tandis que son autre main passait d’un sein a l’autre.J’étais rassuree d’avoir penser a prendre des préservatifs finalement.Son doigt se faisait plus pressant. j’avais poser ma main sur son sexe et a travers le pantalon trempé je lui massais doucement. «-mets toi a 4 pates,» me demanda t’il Je m’executais aussitot.il se placa a genou derriere moi. «-J’adore ton cul ma chérie.Je sentis ses mains m’ecarter les fesses et l’instant d’apres il mis sa langue et commenca litteralement a me «manger l’anus». Je me cambrais de plaisir.J’étais a quatre pates toute nue sous la pluie a me faire lecher le cul par un inconnu en regardant toute la vallée.On aurait dit qu’il avait 7 ou 8 mains. j’en sentais de partout en meme temps. Comme c’était bon.Quand je ne sentis plus ses mains sur moi je me tournais vers lui. Il était en train d’enlever son sac a dos. je me tournais vers lui et je lui dis: «-laissez vous faire!!! je commencais a lui enlever sa veste. puis son tee shirt que je jetais au sol.Je deboutonnais son pantalon de kWay Ca ne passais pas au niveau des chaussures et je lui laissé donc sur les chevilles. Dessous il avait un survet que je baissais aussitot.Je voyais sa queue toute gonflée a travers son calecon et je venais frotter mon visage sur son sexe.Il attrapa ma tete entre ses mains et me carressa les cheveux.Je tirais sur les coté du calecon et lui baissa en bas des jambes.Sa queue était bien acceuillante et je la saisis dans ma main et le masturba doucement. Il essayais de s’extirper de ses pantalon en levant une jambe puis l’autre mais c’etait peine perdu. «-Asseyez vous je vais le faire.» «-Oui vas y mets moi a poil moi aussi» «-oui y’a que comme ca qu’on est bien» «-je lui retirais ses pompes et le reste de ses vetements.puis je m’installais en position de 69 au dessus de lui.Aussitot sa langue rejoignis la raie de mes fesses. je sentais sa langue passer de mon clitoris a mon anus. Je pris sa queue dans ma bouche.Dans les premieres secondes elle n’avait pas tres bon gout mais rapidement je sentis un gout plus agréable. de toute facon j’allais pas faire la difficile.Petit a petit je sentais que c’est moi qui menait la danse et que je n’avais pas a faire a un «mauvais gars». Je le sucais frénétiquement.par moment je le masturbais dans ma bouche, son gland entre mes levres.Je sentis un doigt dans ma chattes, puis en second. je me suis mise a balancer mon bassin d’avant en arriere. Il appuya un autre doidt sur mon anus cette fois ci.Il n’eu pas de mal a le faire entrer.il me doigtais les deux trous en meme temps et en rhytme. Quel délire. Je me rejettais sur sa queue de plus belle .On aurait dit une goulue affamée. La pluie semblait s’etre un peu calmée.Dans un court moment de lucidité je me suis rendu compte de la situation.Je me suis dit que c’etait le moment ou jamais de me lacher completement. a quoi servait d’avoir de la retenue avec cet inconnu.J’avais un peu mal aux genoux et j’avais besoin de me redresser. je m’accroupis au dessus de lui.Ses doigts continuaient de me fouiller. «-Venez? Il se redressa. je le saisis par la queue et l’entrainas vers la croix.Il était en chaussettes et avait du mal a marcher dans les cailloux. «-aie,doucement, je suis pied nu. tu m’emenes ou comme ca. Si des femmes lisent cette histoires,a ce moment j’ai eu l’impression d’etre puissante. l’expression»tenir un homme par les couilles» prenait tout son sens. «-Je veux que vous me prenniez contre la croix!!!» Je m’accroupissais devant lui et recommencais a lui sucer frénétiquement la queue.Il regardait autour de nous, je pense pour etre sur que personne ne vennais.Moi je m’en foutais completement.J’attrapas le petit sac coincé entre mes lacets. Quand il vit les capotes il rayonnas de joie. «-Tu as tout prevu;tu es une vrai saloppe toi. «On est jamais trop prudente quand on se promene a poil, non? Je lui tendis un preservatif. Je me mis contre la croix et me masturbas devant lui.La pluie était revenue est me semblais encore plus forte qu’auparavant.Je me tournais pour qu’il me prenne debout .je me tennais a la croix en regardant la vallée. je sentis sa queue m’envahir et il me pris sans menagement en me tenant par les hanches.L’orgasme ne se fit pas attendre et jexplosais en criant comme une furie.Il se retiras rapidement «-Je veux ejaculer sur toi, donnes moi tes seins donne moi tes seins!! Il arracha sa capote et se repandit sur ma poitrine.J’allais etaler son sperme et m’arretais dans mon elan en me disant que je preferais garder son jus couler sur mon ventre doucement.Je voulais qu’il me voit souillée encore un moment. «-putain je pensais pas faire une aussi chouette rando en partant ce matin.» dis t’il. Dans la suite de mon histoire je vous raconterez la suite de cette journée incroyable .Il ne croyais pas, au debut, que j’étais venu toute nue, mais je lai accompagné plusieurs heures dans les collines en restant toute nue.J’ai atteinds ce jour la devant lui le comble de l’exhib je pense en faisant des trucs dont je n’en reviens toujours pas a bientot helene